Aujourd’hui, la corruption n’est plus locale ou régionale, elle est mondiale et brasse de milliers de milliards de dollars.
On pointe toujours le doigt sur la corruption, reconnue et désignée comme fléau mondial, mais peu sur le corrupteur. Or, c’est le corrupteur qui est à l’origine de la corruption. Sans corrupteur, pas de corruption.
Comment lutter contre cette corruption nationale ou internationale ?
Comment démasquer ces corrupteurs qui menacent tous les continents et pays du monde ?
L’Europe et la France ne sont pas à l’abri, loin s’en faut.
La première des tâches est évidemment de soulever un coin du voile opaque qui masque ces opérations souterraines et complexes.
C’est ce à quoi le film de Pierre Abramovici s’est attaché.