En marge des conférences de presse des syndicats de producteurs qui se sont tenues au Sunny Side of the Doc à la Rochelle, notre directeur général Irad Sachs est intervenu sur le soutien aux films hybrides et la nécessité d’une réforme du crédit d’impôt et la mise en place d’un fond de soutien spécifique aux films hybrides pour améliorer la compétitivité des productions françaises.  

« Actuellement, c’est la double peine. Le crédit d’impôt et le fonds de soutien permettent d’avoir moins d’aide que le dispositif de tax shelter belge. Si on ne réforme pas le système, certains films continueront à se faire, mais à l’étranger. Ce qu’on obtient via le tax shelter est largement supérieur à ce que l’on perd avec les majorations du fonds de soutien et le crédit d’impôt. »

Les films hybrides qui mêlent au documentaire des éléments d’animation et de fiction, très couteux, séduisent sur le marché international et constituent des enjeux en termes d’exportation pour les productions françaises.